Il s’adresse à son fils de deux ans resté en coulisses. A forte dose d’humour cynique et acide, il lui raconte ce monde pasteurisé où on tente de vous sauver la vie en la pourrissant. Christophe serait-il devenu un vieux con défenseur de la liberté́ d’expression totale ? Un râleur à la critique aiguisée, adepte du plaisir et contre toute censure ?
…Et vous ?