Un parcours pictural, à la manière de Hopper: dans Schaerbeek, à la recherche des couleurs et des rythmes du quotidien.
Quelle est notre relation à la ville? Des instantanés me frappent aléatoirement dans ma marche quotidienne, il s'agit donc d'une perception subjective sur un parcours restreint, toujours lié à la lumière, à une sensation.Je m'attache aux non lieux: des endroits n'ayant rien de vraiment spécifique, mobilier urbain, rythmes des briques, des cheminées... un carrefour des relations humaines, anonymes.J'intègre dans cette série une chronologie fictive, une journée reconstituée à partir de fragments, des visions fugitives de la beauté.