Rachmaninov trouve en Christian Arming un interprète de grande classe. Avec l’OPRL, le chef autrichien enflamme les Danses symphoniques (1940), vaste concerto pour orchestre qui juxtapose des textures flamboyantes (incluant le piano, les cloches et le saxophone alto) à des ambiances d’une noirceur ténébreuse (avec l’inévitable Dies iræ, marque de fabrique du compositeur). Dans la foulée de l’enregistrement réalisé pour Fuga Libera avec l’OPRL, Jean-Luc Votano remet à l’honneur le brillant Concerto pour clarinette de Magnus Lindberg.
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