Les oeuvres d'Ellen Gieles se nourrissent, entre autres, de ce qui se passe dans notre société de consommation et de "prêt-à-jeter". L'emballage, l'apparence des gens et des choses est souvent trouvé plus important que le contenu, l'intérieur. Les animaux sont soumis à un élevage intensif en vue de la consommation et deviennent malsains et donc immangeables. Nous maltraitons notre environnement et nous maltraitons les autres: nous le voyons dans le monde entier. Nous voulons nous dominer les uns les autres, nous voulons dominer la nature, alors que nous en sommes justement dépendants.