A propos
Obèse, hédoniste et un peu lâche, Sir John Falstaff passe la majeure partie de son temps à boire et comploter. Il s’éprend d’Alice Ford et Meg Page, deux jeunes mariées qui s’amusent à attiser le désir du vieux chevalier pour mieux ridiculiser ses tentatives de séduction. Avec Falstaff, Giuseppe Verdi fait ses adieux au théâtre shakespearien ainsi qu’à sa carrière lyrique avec un grand éclat de rire. Pour exposer l’intelligence de cet opéra à la fois drôle et mélancolique, la Monnaie s’est tournée vers le duo – devenu incontournable – formé par Alain Altinoglu et Laurent Pelly. Après Cendrillon, Le coq d’or et Don Pasquale, notre Directeur musical et le metteur en scène français nous promettent une nouvelle production douce-amère pour les fêtes de fin d’année.
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