A propos
À en croire The Washington Post, « Ray Chen peut jouer tout ce qu’il veut au violon. » Le jeune intrépide le prouve une nouvelle fois en s’emparant de l’incontournable Concerto pour violon de Brahms en compagnie du London Philharmonic Orchestra. Cette œuvre brillante, lyrique et enjouée fut écrite pour l’un des plus grands virtuoses de son temps : le violoniste Joseph Joachim. À cette gageure musicale succèderont les sonorités orchestrales d’un autre grand symphoniste : Piotr Tchaïkovski. Nous pourrons alors compter sur l’expertise du chef allemand Christoph Eschenbach et de la phalange londonienne. Ensemble, ils dévoileront le charme irrésistible de la Polonaise de l’opéra Eugène Onéguine et la profondeur dantesque de la Symphonie n° 4 du romantique russe.
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