L’assassinat à Dallas de John Fitzgerald Kennedy en 63 produit un traumatisme profond qui se reflète dans les films.
Le président est désormais vu comme une victime possible ou un ardent défenseur d’une démocratie menacée par des tendances séditieuses (communisme à l’extérieur, fascisme à l’intérieur).
Pour preuve de cette atmosphère de complot, des titres comme Seven Days in May de John Frankenheimer, Executive Action de David Miller, Greetings de Brian De Palma ou, plus tard, le Jfk d’Oliver Stone.
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Cycle Hollywood et Mister President | Animé par Olivier Lecomte