Les ateliers Contraste invitent 4 photographes: Alice Pallot, Catherine Rombouts, Lucas Leffler, Gabriela De Clercq

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A propos

Pour la première fois, les ateliers Contraste invitent 4 photographes, deux élèves et deux professeurs, à réunir leurs talents en questionnant des grands thèmes de société, tels que le choix de fin de vie, la pollution, l’homme et son environnement et le repli sur soi face à la pandémie.

"Le grand jour":
Catherine Rombouts a mis en images le choix de fin de vie de sa mère, l’euthanasie, et a proposé en 2017 à Sophie Richelle d’en écrire les textes.
Ce projet part du constat du peu de récits relatifs à l’euthanasie et plus particulièrement, de récits par et pour celles et ceux qui accompagnent ce choix.

“L’Île Himero”
En 2018, Alice Pallot a mené un travail sur deux volcans actifs, à Vulcano et à Stromboli, en collaboration avec des scientifiques et des habitants de la région. Pour certains d’entre eux, les éruptions volcaniques sont apparentées à des manifestations divines. Ce travail a abouti à sa série photographique « L’Île Himero ».

“Zilverbeek”
Lucas Leffler documente et interprète l'histoire d’un ruisseau autrefois situé à Anvers, à proximité de l’usine photographique Gevaert.

Par le passé, cette usine fabriquait des produits photographiques argentiques, et ses eaux usées étaient déversées dans ce ruisseau sans que l’argent n’en soit filtré au préalable. La boue du ruisseau était alors remplie du précieux métal, ce qui lui valut
le nom « Zilverbeek », signifiant en néerlandais « Ruisseau d’argent ».

Zilverbeek mélange enquête documentaire et réinterprétation poétique de l’histoire. Il prend comme point de départ une anecdote industrielle, et tente de lui apporter une dimension mythologique.

"Une chambre à soi »
Par Gabriela De clercq.
Comment préserver une démarche artistique au sein d’un foyer soudainement embarqué dans un nouveau rapport au temps et à l’espace ?

Entre dilatation et contraction, envahissement et débordement, le temps et l’espace intimes se font plus fragiles. Ce travail a été réalisé à Bruxelles lors du premier confinement, entre mars et juin 2020. L’espace domestique pose le cadre de cette série. La maison familiale devient à la fois terrain de jeu, espace de travail, lieu de réflexion, de création, de déconstruction et de reconstruction. Les interactions entre les membres du foyer deviennent prétextes, sujets du travail.

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