Sur scène, deux personnages : « Lui » et « Elle ». « Lui » vient de perdre sa mère. Il tient dans sa main une lettre qu’elle lui a écrite. Que pourrait-elle contenir? Plutôt que de l’ouvrir, il commence à évoquer des souvenirs, des bribes de conversations, des jeux, des chansons… « Elle » se prête au jeu et joue la mère.
Que sait-on vraiment de notre mère, aussi proche soit-elle de nous ? Dans cette fiction décalée, René Bizac explore la frontière entre le souvenir, déformé ou inventé, le rêve et le fantasme. Une traversée ludique, fantastique, poétique, empreinte d’humour, de tendresse, d’ironie et d’émotions.