Fin des années 80, début des années 90, d’innombrables dessins assemblés naissent des mains d’Ariane Bergrichter (1937-1996) dans une Bruxelles grouillante de cafés, de gens attablés, d’arrêts de tram, de passants et d'artistes, de dames à gros manteaux, de serveurs et d’ouvriers.
Vingt ans après la disparition de l’artiste, sa fille fait la découverte de l’œuvre de sa mère, chaque composition bien pliée et rangée dans une valise dont elle ne soupçonnait pas les trésors.
Après une exposition collective à l’American Folk Art Museum de New York en 2018, les œuvres d’Ariane Bergrichter sont montrées pour la première fois à Bruxelles dans une exposition monographique.