Pour cette exposition, Maxence nous présente neuf pièces dont cinq totems analogues à une forêt de silhouettes architecturées, trois masques et une sculpture murale.
Ces sculptures, pensées spécialement pour la galerie s’assemblent et s’empilent dans un jeu de construction. Les différents modules sont tournés à la main par l’artiste et laissent apparaitre des profils mystérieux. L’œil et la bouche en sont absents, le grès qui prend ici des allures de biscuit, comme une invitation à la caresse en font des figures abstraites d’une grande sensualité. Il crée des matières sculptées modulables aux formes brutes et aux contours de velours, reflets de ses voyages et de son intuition.