Elle a beaucoup marché. Elle a emporté peu de choses, excepté quelques instruments qui lui rappellent les sons et les chants de son pays. Sur sa route, la chanteuse burkinabée rencontre un violoniste breton. Ensemble, ils vont faire un bout de chemin au rythme des comptines traditionnelles et des mélodies classiques.
Taama – voyage en langue dioula – est une respiration bienveillante et complice, un temps suspendu entre deux mondes.