Chez Abel Braham, c’est le café qui est devenu le quartier général des « colèbeûs » (ou amateurs de pigeons). On y croise tous ceux qui rythment la vie quotidienne d’un petit village paisible : le facteur, le curé, le Flamand… Enfin, pas si paisible que ça ! Et sûrement pas les jours où on lâche les pigeons, car on pourrait se retrouver avec du plomb dans les fesses !