Le violon jazz d’Alexandre Cavaliere et la guitare classique d’Adrien Brogna se conjuguent avec talent, finesse et bonheur. Les sons brésiliens résonnent sur fond d’improvisations aussi éclectiques que surprenantes. Mais il n’y a pas que Jobim ou le Brésil de Guinga qui sont au menu. Mauricio Carrilho, Marcos & Paulo Valle, Didier Lockwood... sont également réinterprétés dans des envolées de fantaisie très personnelles. C’est beau, c’est délicat, c’est lumineux.