Kimberly Nicholas explore la recherche d’un but dans un monde qui se réchauffe, combinant son expertise scientifique et son expérience personnelle vécue d’une manière qui semble fraîche et profondément urgente: agoniser sur les coûts climatiques de rendre visite à des êtres chers à l’étranger, comment trouver un amour à faible émission de carbone sur Tinder, et même explorer son héritage familial compliqué impliquant des dindes de supermarché.
Dans son livre étonnant « Sous le ciel que l'on construit », Nicholas fait pour la science du climat ce que Michael Pollan a fait il y a plus de dix ans pour la nourriture dans notre assiette: offrir un guide plein d’espoir, lucide et en quelque sorte hilarant pour effectuer un réel changement, en commençant par nos propres vies. Pour nous sauver de l’apocalypse climatique, il faudra des changements radicaux en chacun de nous, afin d’apporter un réel changement dans notre société et notre culture. Mais c’est possible. Cela exige, soutient-elle, la croyance en notre propre capacité d’action et en nos propres valeurs, ainsi qu’une compréhension profonde que personne ne nous donnera jamais le pouvoir – nous allons devoir le saisir pour nous-mêmes.
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A PROPOS
La professeure Kimberly Nicholas est scientifique en développement durable à l’Université de Lund en Suède. Elle a publié 60 articles sur le climat et la durabilité dans des revues à comité de lecture de premier plan; écrit pour des publications telles que The Guardian, Scientific American et New Scientist; et est l’autrice du best-seller du Los Angeles Times "UNDER THE SKY WE MAKE: How to be Human in a Warming World", et de la newsletter mensuelle sur le climat We Can Fix It. Elle donne des conférences et anime environ 75 réunions et organisations internationales chaque année dans les domaines des politiques publiques, de la société civile, des arts et de la culture, de l’industrie vinicole, des fondations et du milieu universitaire. Son travail a été présenté par des médias tels que la BBC, le New York Times, le Washington Post et bien d’autres. Elle est également titulaire d’un doctorat dans le programme interdisciplinaire en environnement et ressources de l’Université Stanford.
