Flygmaskin : littéralement machine volante.
On peut y lire le souffle du vent, un voyage qui prend soin de ce qui se dérobe au visible.
On peut y entendre l’appel sensible de l’errance.
La machine, c’est le son, précis, fluide.
Le combustible ? Ce mélange singulier des claviers, les dialogues essentiels entre l’accordéoniste, le claviériste, la poésie et le silence.
Une invitation subtile à respirer, à prendre le large.
Sébastien Willemyns : Claviers (Fender Rhodes, Philicorda, Piano) – Violon – Composition
Julien De Borman : Accordéon Diatonique – Composition
Muriel De Borman : Textes, voix