Victime et bourreau, prodige de fantaisie et d’énergie, Anna est une sorte d’astre noir qui vampirise tous ceux qui l’approchent et désespère ceux qui tentent de l’aider : sa mère, son mec et sa pédopsychiatre qui a du mal à respecter la distance thérapeutique.
Comment aimer une jeune adulte en grande difficulté psychique ? Comment la protéger, sans confondre au passage notre propre besoin d’être rassuré ? Comment préserver la part vibrante de son être, anéantie par des traitements lourds ? Telles sont les questions posées dans Jamais, toujours, parfois.