Avant 1930 et l’apparition du cinéma sonore, les salles qui projettent les films sont loin d’être silencieuses. Les images sont le plus souvent accompagnées de bruitages réalisés en direct et par une musique improvisée en direct par un pianiste. Le projectionniste est aussi assisté d’un bonimenteur qui lit le commentaire fourni avec le film. Le public n’est pas en reste, qui exprime librement ses émotions.
Pour cette Zinopinée burlesque, on déroule le tapis rouge à Laurel et Hardy ainsi qu’à Buster Keaton. Pas de bonimenteur devant l’écran, mais une bande-son créée en direct par le pianiste François Chamaraux.
Ce jour-là, celleux qui viennent au ciné-concert peuvent découvrir le musée au tarif avantageux de 5€