A propos
En japonais < kuroko ni tessuru > signifie : travailler pour quelqu’un, arranger ses affaires, régler ses problèmes, sans qu’on le sache, en restant toujours derrière.
Les Kurokos sont aussi, dans le théâtre Kabuki, des « personnages » entièrement vêtus de noir et sans visage, qui ont essentiellement des rôles d’assistant·es ou de marionnettistes.
Conception et interprétation : Ikue Nakagawa
Lumière : Matthieu Vergez et Ryoya Fudetani
Régie lumière : Lucas Baccini
Scénographie : Camille Panza et Léonard Cornevin
Composition musicale : Patrick Belmont
Collaboration artistique & regards extérieurs : Lorenzo De Angelis, Salomé Genès, Taka Shamoto
Production déléguée : la Balsamine (Bruxelles, Be)
Production exécutive et diffusion : Météores / Charlotte Giteau (administration et production) / Anaïs Guilleminot (diffusion et production)
Remerciements : 1x2x3 asbl, Yumi Funaya, Yuika Koizumi, Arnaud Timmermans, Moë Nakagawa De Angelis, Aki Nakagawa De Angelis
Coproduction : Charleroi danse, centre chorégraphique de Wallonie – Bruxelles (Be), Cndc Angers (Fr) ; la Balsamine (Bruxelles, Be), Atelier de Paris / CDCN (Fr), La Place de la danse CDCN Toulouse Occitanie (Fr), La Coop asbl et Shelter Prod
Soutien : AD Lib’s Residencies (Bruxelles, Be), Le Bamp (Bruxelles, Be), La Bellone (Bruxelles, Be), Centre Wallonie-Bruxelles Paris (Fr), Materias Diversos (Minde, Pt), Montpellier Danse (Fr) dans le cadre de l'accueil en résidence à l'Agora, cité internationale de la danse, BNP Paribas, ING, Tax Shelter du gouvernement fédéral belge, la Fédération Wallonie-Bruxelles, Wallonie-Bruxelles International et Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse
Accompagnée par : Grand Studio (Bruxelles, Be)
Kuroko n’est donc jamais au centre de l’histoire. Toujours au service de.
Pour sa nouvelle création, la chorégraphe Ikue Nakagawa décide de changer de focale et de mettre en lumière ces ombres de nous-même. Ces multiples facettes qui nous composent. Celles que nous aimons à donner à voir socialement mais aussi celles que nous cachons aux autres et parfois à nous-même. Un spectacle où les seconds rôles, qu’ils soient séduisants ou pas, prennent le devant de la scène et se placent, pour une fois, au centre de l’histoire. Un juste retour des choses pour ces « nous » qui nous accompagnent sans jamais nous abandonner.