Dans Laika, le narrateur raconte ce qu'il a vu, dans Pueblo, ce qu'il a imaginé.
Ici le narrateur descend sur le parking, avec Pierre et son accordéon.
C'est la nuit de Noël avec toute sa symbolique et un spectacle se prépare à la lueur des étoiles.
Avec son débit vertigineux, extrêmement précis, son intensité et sa virtuosité, David Murgia, accompagné au piano et à l’accordéon, nous plonge avec bonheur dans l’écriture bondissante de l’auteur italien.
Certains diront qu’ils manquent de nuance, d’autres se réjouiront de la réalité mise sur scène… tous seront d’accord pour affirmer que dans un monde en mouvement, il est essentiel de nuancer les discours.