Quentin Dujardin revient, sur notre scène, avec de nouvelles mélodies et une énergie de feu portée par des musiciens internationaux.
Ce concert est en lien avec l’album éponyme, dédié à cette guitare si discrète dont les cordes nylon dessinent des espaces infinis. Peindre des paysages est une addiction pour ce musicien et sa traversée dans l’exploration de l’instrument reflète son goût inchangé pour l’aventure, une forme de dévotion quasi religieuse.
On le sait attentif à l’écologie et à la préservation du monde. On le connaît attaché à la terre nourricière et principalement celle de son Condroz. Avec cet opus, il dénonce la "cinquième saison", celle dont la nature se pare entre l’hiver et le printemps, celle de ces champs pesticidés autour de son village et rendus orangés sous l’effet de l’homme pour assurer l’illusion d’une meilleure survie.
Un mouvement évolutif à nuancer avec urgence.
Un quartet incroyable à ne rater sous aucun prétexte.