Au fil des arrangements de Thomas Keck, elle a à cœur de prêter sa voix aux plus belles chansons d’Idir, de Djamel Allam, de Djurdjura ou de Taos Amrouche.
Aux côtés de ces reprises, les compositions uniques de Thomas Keck sur des textes du poète Rezki Rabia donnent vie à des créations originales reflétant toute la richesse de la culture amazighe.
Les Chemins qui montent, titre de l’album, évoque le troisième roman de Mouloud Feraoun, publié en 1957. Écrivain majeur d’origine kabyle, Feraoun (1913-1962) a su, à travers une langue à la fois simple et poignante, témoigner de la dure réalité de la vie en Kabylie à son époque.
Un voyage poétique et musical que vous invitent à emprunter Amel Brahim-Djelloul et ses musiciens, vers les sommets de Kabylie… et ses chemins qui montent.
