A propos
La vie du musicien de jazz est toujours intimement liée au son du groupe mais aussi à des moments solitaires.
«Solo(s) » illustrent ces instants de grâce au cours desquels Shabaka Hutchings s’érige seul face à son public. Quand Fred Hersch semble parler à son piano, Michel Portal se cache dans les recoins d’un théâtre pour chauffer sa clarinette basse et éloigner le trac.
« Solo(s), c’est aussi l’extase d’Abdullah Miniawy (Le Cri du Caire) en écoutant le solo de Peter Corser.
«Solo(s) » est une petite histoire du jazz qui tente de révéler que l’intensité des émotions ressenties par chaque musicien donne du corps et de l’âme au son du groupe.
Flagey
Le jazz a toujours rythmé le quotidien d’Hervé Escario depuis l’âge de 12 ans après avoir mis par hasard un vinyl d’Archie Shepp sur une platine.
Le deuxième choc artistique a été la découverte des photos de Josef Koudelka, Roy de Carava et Marc Riboud.
La photographie en noir et blanc de musiciens de jazz mais aussi de circassiens et de danseurs est alors une évidence.
1° prix du Jazz World Photo en 2023 et 2025, Hervé Escario travaille régulièrement avec des musiciens de jazz (Emile Parisien, Henri Texier, Yoann Loustalot, Sylvain Rifflet…) pour leurs photos d’album, de presse et collabore avec de nombreux festivals (Tourcoing Jazz, Brussels jazz Festival, Jazz in Marciac, Jazz en Nord…).
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