Polish Day in Brussels 2025
Bruxelles - Bruxelles
Dans le cadre du festival Bruxellons!
Le 11 septembre, le monde s’est arrêté.
Le 12 septembre, leur histoire nous a redonné foi en la vie.
«Come From Away» vous transporte au cœur de la magnifique histoire vraie de 7.000 passagers de 38 avions de ligne qui ont atterri d'urgence le 11 septembre 2001 dans la petite ville de Gander à Terre-Neuve dont les habitants vont tout mettre en œuvre pour accueillier au mieux ces femmes et ces hommes venus des cinq continents.
Au milieu des cultures qui s’entrechoquent et de la panique ambiante, l’inquiétude laisse place à la confiance, la musique s’élève dans la nuit et la gratitude se transforme en une amitié qui durera toute la vie.
«Come from Away» montre ce petit monde temporaire où tout le monde est forcé, par des événements bouleversants survenus à des centaines de kilomètres de là, de se réunir et de construire une communauté basée sur des principes de générosité et de bienveillance.
EN QUELQUES MOTS
Le matin du 11 septembre 2001, les habitants de Gander (Terre-Neuve) apprennent que des attentats terroristes ont eu lieu à New York. Les attaques entraînent la fermeture de l’espace aérien américain, détournant 38 avions internationaux vers l’aéroport de Gander. Le nombre de passagers à bord de ces avions double la population de la petite ville qui n’est pas équipée pour faire face à l’afflux de voyageurs bloqués. Malgré tout, les habitants de Gander se préparent à loger, nourrir, vêtir et réconforter les quelque 7 000 passagers mais aussi les 19 animaux des soutes à bagages.
Dans un premier temps, les équipages et les passagers ne peuvent quitter les avions. Ils n’ont que des informations confuses et contradictoires sur ce qui s’est passé à New York. Une fois autorisés à descendre des avions et transférés dans des abris d’urgence à proximité, ils sont horrifiés par les images rediffusées en boucle à la télévision. Certains tentent désespérément de contacter leurs familles – nous sommes avant l’ère des GSM. Les habitants de Gander et des villes environnantes ouvrent leurs maisons aux «gens de l’avion», sans égard à la race, à la nationalité ou à l’orientation sexuelle de leurs invités. Ils travaillent toute la nuit pour les aider de toutes les manières possibles. Les voyageurs et les équipages sont d’abord décontenancés par la gentillesse peu commune de leurs hôtes, mais ils baissent lentement leur garde et commencent à se lier avec les citadins et entre eux. Par exemple, deux femmes, Beulah (de Gander) et Hanno (de New York), se lient d’amitié sur le fait que leurs deux fils sont pompiers. Mais le fils de Hanno est toujours porté disparu après les attaques. Un lieu de culte, rassemblant toutes les religions est ouvert. Des rencontres amoureuses ont lieu – mariage s’ensuivra – et d’autres couples se disloquent car leurs relations paraissent tellement artificielles en ces moments de vérité. Beverly Bass, la première femme pilote chez America Airlines, confesse sa peur que disparaisse la passion de sa vie: voler.
Quelques jours plus tard, l’espace aérien réouvre et chacun peut rentrer chez soi. Les passagers n’oublierons jamais la gentillesse et la générosité dont les habitants de Gander ont fait preuve à leur égard. Les habitants de Gander reviennent à la vie normale, mais ressentent à quel point leur ville semble vide et à quel point le monde semble différent.
Dix ans plus tard, l’équipage et les passagers se réunissent à Gander, cette fois par choix, pour célébrer les amitiés de longue date et les liens solides qu’ils ont tissés malgré les attaques terroristes. Comme le confesse le maire de Gander: «Ce soir, nous rendons hommage à ce qui a été perdu, mais nous commémorons aussi ce que nous avons trouvé.»
DISTRIBUTION
CREATEURS
AuteurIrene Sankoff
AuteurDavid Hein
CompositeurIrene Sankoff
CompositeurDavid Hein
ParolierIrene Sankoff
ParolierDavid Hein
Traduction françaiseStéphane Laporte
Mise en scèneAnne Mie Gils
Mise en scèneJack Cooper
Assistante à la mise en scèneMathilde Bourguet
Direction musicaleBo Waterschoot
Direction polyphonie vocaleSebastien Jurczys
ChorégraphiesKylian Campbell
ScénographieDimitri Shumelinsky
AccessoiresCédric Michel
Création des costumesBéatrice Guilleaume
LumièreLaurent Kaye
CoiffeurOlivier Amerlinck
Ingénieur du sonVincent Debongnies
Ingénieur du sonSimon Defrenne
Ingénieur du sonEric Loots
AVEC
DianeMargaux Maillet
HannahTerja Diava
JaniceAaricia Dubois
BeulahVirginie Perrier
BonnieJolijn Antonissen
BeverleyMarion Preite
OzLoïc Suberville
Kevin TDamien Locqueneux
Kevin JLoaï Rahman
BobJanis Palu
ClaudeFranck Labbé
NickArnaud Masclet
ORCHESTRE
Direction et guitare basseBo Waterschoot
PianoAnne Wolf
Flûte 1Remi Decker
Flûte 2Raphaël De Cock
ViolonLorcan Fahy
GuitaresTéo Crommen
Mandoline et bouzoukiJonathan Bruyninx
PercussionsStephan Pougin
BatterieThierry Gutmann
EQUIPE TECHNIQUE
Direction techniqueDenis de Bock
Vincent Lemoine
Nettoyage des costumesArlette de Winne
PRODUCTION
Co-producteurOlivier Moerens
Co-producteurJack Cooper
Co-producteurDaniel Hanssens
Directrice de productionLady Karidas
Attachée de presseValérie Nederlandt
GraphisteGaétan Bergez
Photo ReporterAlexandre Mhiri
UNE HISTOIRE VRAIE: «Tout le monde nous dit que nous avons fait une chose incroyable, et en fin de compte, je ne pense pas que c’était une chose incroyable. Ce que nous avons fait était normal.» - Diane Davis, 53 ans en 2001, une enseignante qui a aidé 750 personnes logées à l’école primaire de la ville.
«Ce que nous considérons comme la chose la plus simple dans la vie, c’est d’aider les gens. Vous n’êtes pas censé regarder la couleur des gens, leur religion, leur orientation sexuelle – vous les regardez en tant que personnes.» - Le maire pendant 21 ans de Gander, Claude Elliott.