Les angles, les lignes, les formes précises que peut prendre le corps quand il se trouve exposé dans la simplicité d’un espace libre. L’observation de la danseuse devant la netteté de ce qui lui échappe et qu’elle construit si simplement. Nul étonnement cependant, un laisser-faire les nerfs, un auto-déploiement des membres, une poussée naturelle du rythme. Et soudain, le sens émerge et, avec lui, une forme de libération.
Anastasia Valsamaki compose dans cette œuvre un langage clair et évocateur. Ainsi qu’elle le suggère : « un mouvement peut être aussi compliqué et simple qu’une pensée ».
